Les surprises de la Skoda Octavia : essai

Skoda a l’ambition de vendre 1,5 million d’exemplaires de sa nouvelle Octavia. Et pas seulement aux taxis même si c’est une référence pour la fiabilité. Parions donc qu’ils ont peaufiné leur best seller ! Nous partons dès sa sortie l’essayer. Retrouvez d’autres essais automobiles sur Temps-Libre Magazine : Kia Sorento, Kia Sportage, Peugeot 508, Infiniti Q70 hybride, Toyota Auris hybride.

Pour à peine plus que 20000 €, Skoda permet d’accéder aux standards du groupe Volkswagen : ergonomie, équipement, finition, avant même de démarrer un parfum de séduction entoure le conducteur qui se sent privilégié de bénéficier des attentions des ingénieurs de la marque. Il faut reconnaître que dans la sobriété les allemands dominent le sujet. C’est agaçant mais évident !
Comme à bord d’une limousine, l’espace à bord est important, suffisant pour cinq personnes et le coffre est immense. Ça tombe bien nous partons au ski à cinq et allons parcourir 1000 km en un week-end de Paris aux Rousses, dans le Jura.
Le confort est royal, la souplesse du moteur permet en ville de circuler à 50 à 1750 T/min en 3ème en offrant déjà une vrai reprise, il descend jusqu’à 1000 sans cogner sur plat, le voiture glisse sans un bruit. Impressionnant. Tant mieux parce que le levier de vitesses, trop raide, manque d’agrément. Peut-être pour nous faire acheter la DSG ?
Question silence, nous avons été vraiment impressionné : sur autoroute, attention aux excès de vitesse car la qualité d’insonorisation et la grande démultiplication de la boîte vous font atteindre des vitesses de plus de 150 km/h sans bruit.
Le coffre s’avère immense. Nous y logeons cinq gros sacs, les doudounes et chaussures de ski facilement. Avec 560 litres de contenance et une ouverture béante grâce au hayon, c’est une vraie baleine.
Gardons le meilleur pour la fin. En faisant le plein au retour j’ai personnellement constaté une consommation de moins de 6l/100, sur 1200 kms d’autoroute à vive allure, de montagne, la voiture pleine à craquer, c’est juste incroyable ! La performance des ces moteurs de cylindrée pourtant réduite, ici en 1.6 litre au lieu de 1.9 précédemment, représente la révolution de ces dernières années. Que ce soit en essence ou en diesel, adieu les grosses cylindrées et vive les injections et les turbos à fort rendement.

Bon vous l’aurez compris, l’Octavia nous a séduit. Ses feux arrières ne nous ont pas plu, la boîte accroche un peu, avant rodage, sa longueur n’en fait pas une citadine, mais venue à partir de 15350 €, c’est une affaire.

Nous ne sommes pas les seuls à l’avoir essayé … Jérôme Vassia analyse la Skoda Octavia RS Combi, c’est à dire version break :

 

 

 

 

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